Résultat des Elections Primaires MIDI-PYRENEES

FELICITATION A BRIGITTE BAREGES. ELLE EMPORTELA VICTOIRE ET DEVIENT DONC LA TETE DE LISTE UMP POUR LES PROCHAINES ELECTIONS

REGIONALES :

Brigitte BAREGES : 2689 voix 54,63%
Gérard TREMEGE : 2233 voix 45,37%
Taux de participation : 45,50%

Comments

[Militant]

Le TGV/LGV un beau projet pour candidats ambitieux à la région, comme aux européennes, nous avons tellement de retard !!!Ci joint article de Libé Toulouse
31/03/2009

Le TGV à Toulouse: le chef de gare et les «olibrius»


Un TGV Bordeaux-Toulouse-Montpellier? «Au mieux en 2018», répond le président (PS) de Midi-Pyrénées Martin Malvy. «Je sais, dit-il. Des olibrius se sont amusés à le promettre pour 2012...»
Il y a peut-être comme un sifflement aux oreilles de Philippe Douste-Blazy. Martin Malvy est sans concession pour l’ex-maire UMP de Toulouse : «Il en en a beaucoup parlé. Mais il s’est bien gardé de jamais mettre son nez dans le dossier».
La pétition pour cette Ligne à Grande Vitesse publiée  par LibéToulouse (voir libetoulouse au 7 et au 12 mars) note que «les majorités de gauche et de droite qui se sont succédé» en Aquitaine, Midi-Pyrénées et Languedoc-Roussillon n’ont «manifesté que tardivement l’engagement et l’obstination» pour la réalisation du projet.
Les dites majorités de droite gardent un silence prudent. Les majorités de gauche regimbent. En substance : si le TGV doit rouler un jour à Toulouse, ce sera bien grâce à nous.



Confondre droite et gauche sur cette question relève du «discours anti-élus!» proteste Pierre Izard au Conseil général de Haute-Garonne. «C’est nullement la réalité», écrit-il. Pour faire avancer ce projet, son Assemblée s’est, dit-il, la première engagée pour une somme équivalente à 30 collèges ou «une année d’investissement départemental».
«Dans les faits, reprend plus souriant le président socialiste du Conseil régional, c’est nous qui sommes à l’origine de cet engagement en ayant signé avec Lionel Jospin et son ministre des Transports Jean-Claude Gayssot le plan de développement 2000-2006». Martin Malvy aurait ainsi mis le TGV sur les rails.
Le TGV existait déjà quand Dominique Baudis était président de la région en 1986. L’actuel président n’a «pas le souvenir» de l’avoir entendu s’exprimer sur la question. Ce qu’a pu en penser son successeur Marc Censi ne lui est pas resté en mémoire «non plus…» Il est toutefois resté marqué par les idées brassées à ce sujet par Philippe Douste-Blazy : «lui développait encore l’idée d’un TGV Toulouse-Paris par Limoges. Ce qui en aurait fait le TGV le plus cher du monde…»
Il n’est pas très charitable, Martin Malvy. Comme les loups en politique. Marc Censi et Philippe Douste-Blazy ne sont plus candidats à grand-chose dans la région. Mais Dominique Baudis qu’il passe au casse-pipe effectue justement son retour en politique sur ces trois régions, étant tête de liste de l’UMP dans la circonscription européenne du Grand Sud ouest.
Sur les 13 milliards € que devrait coûter la ligne à grande vitesse Tours-Bordeaux-Toulouse-Montpellier qui reste à réaliser, Midi-Pyrénées se dit disposée à investir sa part de 423 millions €, soit trois ans de fiscalité, quand tout le monde se sera mis d’accord.
Si la Déclaration d’utilité publique (DUP) est signée pour l’ensemble du trajet en 2011, Toulouse pourrait en effet n’être plus qu’à trois heures de Paris en 2018. En attendant, le TGV sera au moins devenu un véritable enjeu électoral.
GLv.

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Cela s'arrose ! C'est si rare que l'UMP remporte une élection en Midi-Pyrénées !