L’islamisation de la France se poursuit

Publié le par A.P.ré. (Frédéric Guyonnet)

Quand les infirmiers suivent une formation à la mosquée pour apprendre à "soigner les croyants" !
Une étape de plus est ainsi franchie dans la très longue série des problèmes que posent l'islam et ses adeptes dans les établissements de santé. Plutôt que d'exiger de tous les patients qu'ils respectent la neutralité de l'hôpital, on demande ici aux étudiants infirmiers de s'adapter aux interdits et préceptes de la religion. Le personnel médical n'en pouvait  pourtant déjà plus de devoir slalomer entre les exigences religieuses et de devoir faire face à l'agressivité et la violence d'un certain nombre de patients pour des raisons religieuses.

 Il fut un temps où le personnel médical devait apprendre à soigner les patients. Nous entrons dans une ère où il doit apprendre à soigner les  croyants. Bienvenue dans le petit monde ubuesque du multiculturalisme. Les élèves infirmiers de Limeil ont des cours pour réussir à concilier la pratique religieuse des patients et les soins. Hier, ils ont découvert les rites musulmans à la mosquée de Créteil.
Comment concilier le respect de la liberté du culte, inscrit noir sur blanc dans l'article 8 de la charte du patient hospitalisé, avec une bonne gestion des soins? Une trentaine d'étudiants de l'Institut de formation en soins infirmiers (Ifsi) de l'hôpital Emile-Roux (AP-HP), à  Limeil-Brévannes, cherchaient des réponses à cette question hier à la mosquée de Créteil.  Pour les uns, pas question d'être examiné par un médecin de sexe masculin.
Dans un hôpital, il n'est pas rare en effet que le personnel soignant soit confronté à des refus pour des raisons religieuses.  « Ce module est un enseignement imposé. Certains de ces étudiants de deuxième année ont fait entendre leurs réticences au motif qu'ils étaient profondément athées. Certes, le personnel soignant doit rester dans une position neutre, les établissements de santé sont des établissements laïcs  mais ces futurs infirmiers auront à prendre en charge des patients qui  viennent avec leur histoire », explique Anna Giacomini, formatrice à l'Ifsi.
 Avant d'engager les discussions, Ibrahim, de l'UAMC, remercie les étudiants.  Les étudiants ont multiplié les questions. « Il paraît qu'un non-musulman ne peut pas toucher un Coran écrit en arabe. Comment fait-on si un patient hospitalisé le laisse tomber du lit? » demande une étudiante. Réponse : « Vous pouvez le ramasser avec une couverture, il faut que quelque chose  fasse barrière. »
 « Si un patient ne peut pas entrer en contact avec l'eau, pour des  raisons médicales, comment peut-il faire ses ablutions avant la prière ? » interroge un autre étudiant. « Ne soyez pas étonné si vous voyez une pierre dans sa chambre, il peut en effet passer cette pierre pour se purifier  s'il ne peut pas utiliser l'eau », indique l'intervenant.
Don du sang et don d'organes, jeûne du ramadan et grossesse, crémation... tout est passé en revue par les futures blouses blanches.  Dans ce cadre, la mosquée accueille également les élèves de l'Ifsi de l'hôpital Henri-Mondor (AP-HP) de Créteil. Des discussions sont également en cours  avec l'hôpital Paul-Brousse (AP-HP) de Villejuif.

L’islamisation de la France se poursuit. Nous en sommes au 3e  stade  avec une population au-delà de 5%. Les musulmans  exercent une influence démesurée, qui est fonction du pourcentage de population qu’ils représentent. Par exemple, ils exigeront l’introduction de nourriture halal (pure suivant les critères islamiques), procurant ainsi des emplois aux musulmans dans les métiers de l‘alimentation. Ils aggraveront la pression sur la grande distribution pour qu’elle fasse figurer des produits halals dans ses rayons - assortie de menaces en cas de refus d’obtempérer. Ils demanderont aux hôpitaux d’être soignés suivant les préceptes de leur religion.

 

Dans la prochaine étape,  ils feront pression sur le gouvernement en place pour être autorisés à s’autogérer (dans les limites de leurs ghettos), en appliquant la Charia ou loi islamique.

Lorsque la proportion de Musulmans approche 10% de la population, ils tendent à protester contre leurs conditions de vie par une recrudescence des actes de délinquance. A Paris, on voit déjà des incendies de voitures. Tout comportement non musulman offense l’Islam et provoque soulèvements et menaces, comme à Amsterdam, en représailles contre les caricatures de Mahomet et les films sur l’Islam.

 

Passé le seuil de 20%, les nations peuvent s’attendre à des émeutes sous le moindre prétexte, la formation de milices djihadistes, des assassinats sporadiques et des incendies d’églises chrétiennes et de synagogues, comme en Ethiopie, où les musulmans représentent 32.8% de la population.

L’objectif final est d’instaurer la Charia dans le monde entier.

 

source  : http://unionroyalistebvm.over-blog.com/

Publié dans Actualités nationales

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