Municipales 2008 : Toulouse avec J.L. Moudenc (7)
En 1985, malgré l'opposition des élus socialistes de la ville de Toulouse déjà visionnaires à l'époque, Dominique Baudis et son équipe votent la construction d'un Métro à Toulouse. La désormais fameuse ligne A reliera Basso-Cambo à Jolimont en 1995.
Victime de son succès la ligne A sera étendue jusqu'à Balma-Gramont, quelques années plus tard.
Bientôt suivra le projet de la ligne B, inaugurée le 30 juin 2007, qui relie Borderouge à Ramonville-Saint-Agne.
Chaque jour, 220 000 voyageurs empruntent la ligne A, ils sont 150 000 à utiliser la ligne B, mais nul doute que ce chiffre déjà fort progressera lorsque les liaisons avec les traways prévues aux 2 extrémités de la ligne seront réalisées dans quelques années.
Une fois ces travaux achevés, le métro permettra non seulement aux Toulousains de rallier un point à un autre de la ville en un temps record mais également aux habitants de nombreuses communes de la grande couronne Toulousaine (Ramonville, Balma et bientôt Blagnac, Beauzelle, Castanet ...) de rallier le centre-ville de la Ville Rose sans avoir à prendre leur voiture.
Malgré ça, une poignée d'irréductibles continue de protester envers la politique de transports en commun de la mairie de Toulouse.
En dignes successeurs de leurs ainés,dont ils ont gardé le caractère borné et contestataire, ils s'élèvent systématiquement contre tout projet novateur et visionnaire dans l'agglomération Toulousaine.
Ce petit comité de réfractaires, nous le connaissons tous, il s'agit des jeunes socialistes de Toulouse dont voici le dernier tract en date :
Comme vous le voyez, plutôt que de nous parler du métro qui a révolutionné la vie Toulousaine, les jeunes socialistes préfèrent nous parler de l'absence de tramway ici contrairement aux autres villes de France.
Etonnement, ils ne nous disent pas combien de villes de Province peuvent se targuer de 2 lignes de métro cumulant 370 000 utlisations par jour.
Ils préfèrent nous laisser croire qu'on circule mieux à Bordeaux ou à Montpellier qu'à Toulouse. Visiblement, ils n'ont connu ces villes que le week-end ... et encore !!!
Comme vous pouvez le remarquer, ce petit comité de malfaiteurs n'a pas pris soin de signer son oeuvre, préférant y afficher le logo de la mairie de Toulouse.
Ce n'est pas grave, comme vous et moi connsaissons très bien les auteurs de ce tract au final bien distrayant, je vous propose que nous leur desservions immédiatement et en toute amitié, le prix de l'humour politique 2007 de la ville de Toulouse !!!
source : les jeunes pour Pierre Cohen