La « TVA sociale » : un mode de prélèvement plus juste
« Le travail est au cœur des valeurs qui nous rassemble » Les Réformateurs de l’UMP La « TVA sociale » : un mode de prélèvement plus juste |
Lors de la campagne pour l'élection présidentielle, Nicolas Sarkozy s'est prononcé en faveur d'une expérimentation de la TVA sociale en France. baisse du taux de chômage à 5,5 %, excédent budgétaire, croissance élevée (+ 3,4 % en 2005), balance commerciale positive. En Allemagne, le taux de TVA est passé de 16 % à 19 % le 1er janvier 2007, les deux tiers des nouvelles recettes servant à combler le déficit des finances publiques et le dernier tiers à financer une baisse de 2,3 points du taux de cotisation d'assurance chômage (de 6,5 % à 4,2 % du salaire brut). Dans ces deux États membres de l'Union européenne, l'introduction de la TVA sociale n'a pas eu d'effet particulier sur l'inflation. |
L’A.P.Ré –Les Réformateurs de l’UMP 31 avait déjà travaillé sur cette proposition en la baptisant la Contribution de Solidarité Professionnelle pour éviter l’amalgame fait avec TVA existante.
L’A.P.Ré se félicite que le premier ministre, François FILLON reprenne cette mesure.
C’est la preuve que la richesse de nos discussions de terrain peut contribuer au débat d’idées et être reprise au plus haut niveau de l’Etat.
Vous pourrez redécouvrir, à cette occasion, le schéma que nous avions établit pour illustrer la justesse de cette mesure et contredire ainsi les contrevérités émises par le parti socialiste qui pour ces législatives, parle d’augmentation de TVA sans pour autant avoir regardé le détail du mécanisme.
Encore une fois, c’est la preuve que contrairement à ce que dit la gauche, Nicolas SARKOZY et sa future majorité représente le Mouvement, l’ingéniosité et la Réforme tant voulue par les français.
Alors de grâce monsieur Hollande, si vous n’êtes pas capable d’avoir une certaine honnêteté intellectuelle, pour reconnaître au moins l’utilité de tester cette mesure je vous en conjure :
Quitter votre poste de premier secrétaire afin que nous puissions débattre avec une opposition constructive et non avec un PS qui parfois donne l’impression d’être celui d’avant le congrès d’EPINAY.